Le hall d'entrée

pardy apercut friandise ,il la trouva a son gout elle etait belle a croquer ,pardy s'approcha d'elle et lui dit bonjour


[/i]bonjour belle dame pourrions nous bavarder un peut ensemble .

[i]pardy trouvait le temps long personne ne s'intéréssait a lui,pourtant de jolies femmes passaient.

Guillaume était un seigneur pauvre, ne possédant que quelques terres en royaume de France et ne vivant que de la rente de ses terres. Ces dernières années avaient été dures pour lui comme si le destin s’était juré de le dépouiller. Apres la mort de son frère Arnaud, le dernier descendant direct de la lignée Cambourg , une suite de malheurs s’était abattus sur lui . Son amante, Elisabeth, avait du le quitté. Femme qu’il avait ardemment aimé mais qui avait décidé de retourner dans son village natal, la ou tout autre noble aurais pu advenir a ses besoins en échanges de quelques avances. Une partie de ses terres revinrent par la suite de droit a ses cousins, et il se vit délaissés au fur et a mesure par ceux qu’il avait autrefois considérer comme amis.

Pourtant le jeune Guillaume n’avait rien pour déplaire. il était bien battit, brun, les traits fins. Peut être un peu petit mais cela ne l’avais jamais réellement dérangé. Il était intelligent , légèrement orgueilleux mais bon dans son âme . il savait voir les belles choses la ou elles étaient et même la ou personnes ne les voyait. En effet, il aimait a s’instruire et cultivait une fascination tout a fait particulière pour les poèmes étrangers.

Un beau matin, Amaury de Cambourg, un de ses cousins vint a la porte de sa demeure accompagnés d’hommes armées et de d’huissiers, venu saisir les innombrables dettes qu’il avait accumulés misérablement. Las, guillaume n’eu d’autre opportunité que de fuir son propre château.
Cependant, la ou alors que n’importe qu’elle homme normalement constitué aurait préférés se laisser lentement pourrir au fond d’une taverne, Guillaume sourit a cette opportunité. Il était libre, il ne devait plus rien a personnes et vit se bouleversement comme un renouveau.

Il se souvint de cette maison… la maison du bonheur dont on lui en avait vanté les mérites .
Hors de la chaire, de la luxure et de l’oisiveté, ce lieux était remplis de personnes cultivées et ouvertes d’esprits. après tout, il n’avait rien a perdre et se devait de trouvé soutient chez les lettrés.

S’est donc ainsi, que livres sous le bras et habits de voyages sur le dos que Guillaume de Cambourg se présenta devant la dite maison .
La bâtisse était belle. Surement un vieux château retapé. Il ne vit que la court de devant dans laquelle il s’engouffra. Devant lui se tenait une dame et un valet. Il s’approcha timidement, quand la femme en question ( qui, comme lui devait venir d’arriver en vue des sacs de voyages ) se retourna, dévoilant un visage qu’il avait tant connus


Elisabeth était la, radieuse …

Guillaume s’avança vers la femme et l’appela
Elisabeth ! est ce bien vous ?

La femme frissonna et se tourna doucement vers lui, tentant maladroitement de cacher ses joues rougies a l’aide de son éventail.
L’homme s’arrêta face a elle et fit lui fit délicatement le baisemains

Mais que faites vous donc ici ? cela fait si longtemps que nos chemins ne s’était pas croisés a nouveau….

Il caressa du regard les courbes de son corps épousé par sa robe, corps qui avait tellement changé. Il n’évoqua cependant pas la rupture et son départ précipité. Ne cherchant ni le conflit, ni a mettre mal a l’aise la femme qu’il avait tant aimé. Apres tout, Guillaume était a présent un homme heureux et le passé ne lui appartenait plus.

Il lui offrit galamment son bras, l’invitant ainsi a parler en se dirigeant vers la bâtisse

Elisabeth qui c'était de nouveau retourner, le laissa baiser sa main. Abaissant doucement son eventail, elle le garda tout de même en main. La jeune femme fermit les yeux un instant, ce laissant bercer par le doux son de sa voix. Quand il se tu, elle rouvrit ses yeux Émeraude et les plongea dans celui de son ancien amant. Se résignant, elle fit une courte révérence. Après tout ce temps, il devait surment en avoir trouver une autre. D'ailleur c'était surment pour cela qu'il était ici, il devait surment l'attendre. Elisabeth cligna des yeux quand il lui proposa son bras, sortant doucement de ses songes. Se rappellant aussi la présence du majordome, elle lui foura son eventail dans les mains et glissa son bras avec douceur sous celui de Guillaume.

Ils marchèrent longuement en silence. D'ailleur, Elisabeth n'avait pas prononcer un mot depuis qu'il était rentrer. Elle se gardait distante et tentait de paraitre détacher, malgrer le désir qu'elle resentait de lui sauter au cou. Si elle était réaliste, cela faisait quelque années qu'ils ne s'étaient pas revu et beaucoup d'eau avait peut être couler sous les pont depuis. La jeune femme voulait se convaincre qu'il n'avait penser qu'a elle, mais celui-ci ne le lui avait pas faire remarquer, ni prouver le contraire. Elisabeth se detacha doucement de Guillaume, et se dirigea vers une tanture, qui semblait cacher un bout de pièce. Les joues en feux, le corps tremblotant, elle croisa le regard de son ancien amant et se figea. Une voix retentis dans la pièce et elle eu a peine conscience que c'était la sienne.

- Je.. J'imagine que vous ètes devenus un courreur de jupons ? Comme votre frère ? .. dite, elle est mieu au moins ?

Elisabeth détourna ses yeux vert, pour les fixer sur un objet, Ses joues devenant rouge .mais Guillaume se planta devant-elle. Lentement, elle releva son menton tremblotant, lui tenant tête. Après tout, quel homme ne courait pas les jupons ? ils étaient tous pareille. Pourtant, elle aurait temps voulu croir qu'il était différent. Mais il ne fallait pas espérer, Elisabeth était partie, il avait surment du s'en remettre. Son coeur se serra, quand elle le sentie se rapprocher.

« Coureur de jupons »

Ces mots résonnèrent chez guillaume … cela faisait plusieurs années qu’il n’avait courtisé une femme .(hormis une de ces jeunes amie dont il avait la tutelle, ce dont il fit bien part de ne point mentionner) D’ailleurs ce contact l’avait peut etre un peu trop manqué durant ces longues anées.
Il s’arrêta net sous le coup et s’offusquation

mais que dites vous la voyons ? auriez vous perdu la raison ?
il sourit, de peur de s’emporter.

Voila plusieurs année que nous ne nous sommes point vu et vous ne vous préoccupez que des femmes ayant suivi votre départ ? Et bien je risque de vous surprendre, vous pourrez me traiter de menteur d’ailleurs si cela vous enchante , mais accunes femmes ne détrôna la place qui vous est réservé a mes cotés.

Guillaume était sincère. Il avait certes connu quelques femmes d’une nuit mais quel homme seul et écrasé par la vie aurais pu résister aux quelques réconforts de dame nature ? N’étant point un prêtre chaste, rabougris et endoctrinés, il avait connu la chaire. Mais en rien ces ébats n’étaient comparables a la relation qui le liait a sa chère amie.

Elisabeth croisa son regard, qui était des plus sincère. Comment faisait-elle pour le savoir ? Aucune idée, mais l'ayant élever, non depuis sa naissance, mais dans un age un peu avancer, elle le conaissait comme le fond de sa poche. Elisa refusait de croire qu'en quelque année il ai pu changer. Doucement, elle se rapprocha de Guillaume et s'arrêta quand elle fu très près de lui. Rapprochant son visage du sien, elle lui souffla de sa voix mielleuse.

- Je vous croit messire, pardonnez mon manque de respect.. mais..je.. je pensait qu'après tout ce temps, il vous aurait été facil d'en trouver une autre. Respirant a peine, elle ajouta. Après tout, je ne suis pas mieu qu'une autre, non ? ..

Elle mordilla son lobe d'oreille, puis écarta son visage du sien. De court frison parcourait son corps, du au fait qu'ils étaient près l'un de l'autre. Chacun gardait ses mains de son coter, mais elle ne pouvait pas s'empêcher de revoir ses main caressant son corps. Elisabeth allait reprendre ses distance, mais il passa ses bras autour de sa taille et elle se retrouva contre lui. Lentement, elle continuait de le regarder, ses yeux vert plonger dans ses prunelle, ses lèvres près des siennes, elle respirait a peine.

Ils étaient dresses la, tout deux face a face, leurs souffles caressant le visage de l'autre. Élisabeth rapprocha lentement ses lèvres de celles de guillaume. Il approcha lui aussi dangereusement les siennes. Leurs souffles chaud ne faisait plus qu'un quand Guillaume se détacha d'elle d'un air enjoué . Il la désirait, certes, mais voulais provoquer le désir a travers la frustration chez celle ci. Il arriva d'ailleurs a ses fins ; Élisabeth n'avait pas réagit d'un cil et resta ainsi de marbre. Il la prit par la main et lui dit

allons, venons nous trouver un coin tranquille ou nous pourrions parler. J'ai hâte de vous redécouvrir.

Il entra dans la demeure et demander au jeune homme de tout a l'heure de leur indiquer un lieu agréable, intime et ou ils ne seraient pas dérangés. Tandis qu'ils suivirent le pas du jeune homme, les deux amants commentaient la décoration. L'ensemble était de plutôt bon goût et Guillaume reconnut quelques tissus très en vogue.
Il arrivèrent enfin.
Le jeune homme leur demanda juste de repasser finir les modalités avant de lasser les deux amants.

Eidur entra dans cette bâtisse dont on lui avait parlé. L'endroit semblait bien calme. Il vit dans un coin un homme qui semblait presque momifié à trop attendre que l'on veuille bien l'accueillir. Il se demanda si le même destin l'attendait. Ce lieu ressemblait au Manoir qu'il avait autrefois fréquenté. C'est là-bas qu'il l'avait rencontrée. Peut être trouverait elle le chemin de cette maison du bonheur. Il avait impatience de faire connaissance avec les habitants de ce lieu. Agissant comme s'il possédait l'endroit Eidur alla se chercher un verre et le remplit de vin. Après avoir scruté la pièce il découvrit un fauteuil de libre et traversa le hall pour s'y installer.

Princesse entra dans le salon, après une longue absence, elle revenait enfin dans ce lieu de débauche. Habiller de bien peu de tissu, soit un corsait rouge et des haillon de la même couleur, elle descendit les escalier qui menait au salon. Ses long cheveux brun courraient librement sur ses épaules. Sans faire le moindre bruit, elle se dirigea vers un homme qui lui disait vaguement quelque chose. Peut-être c'était-il croiser dans le manoir des diaboliques ? La jeune femme haussa les épaules tout en se dirigeant vers cet homme. Kate regarda l'homme se diriger vers un fauteuil. De la ou elle était, personne ne pouvait la voir.

Après un long moment, Kate sortie de derrière la grande porte et marcha avec lenteur vers l'homme caler dans le fauteuil.

- Bienvenue dans la maison du bonheur Sir, que puis-je faire pour vous faire plaisir ?

Dit-elle d'une voix qui se faisait tentatrice. Lentement, elle se raprocha d'avantage de l'homme et se pencha doucement dans sa direction pour lui susurrer. " Que diriez-vous de monter a l'étage ? " Puis, elle le nargua de ses lèvres tout près des siennes avant de prendre un peu de recul.

Hal qui venait à peine de s'asseoir regarda une jeune femme, court vêtue, traverser la pièce en sa direction. Sa silhouette ne lui était pas inconnue, mais quant à savoir où il avait pu la croiser il n'en avait plus aucun souvenir. Peut être au manoir. Peu importe, il n'en avait cure. Le principal était qu'elle se dirige vers lui, d'un pas assuré, ses intentions à peine voilées.

Bonjour, gente Dame. Merci de m'accueillir en cette demeure. Je me demandais si l'endroit était encore habité. Il me semble qu'il le soit, et de la plus belle manière.

Hal la regarda de haut en bas avec insistance.

Je suis sûr que vous pouvez beaucoup,dit il en souriant malicieusement.

Hal ne put réprimer un sourire en entendant la proposition de la jeune femme. Dire qu'il avait peur de perdre son temps icelieu. La détermination de la jeune femme était évidente, ses intentions claires. Hal aimait que les choses soient nettes, directes. alors qu'il en était à ce point de réflexion il sentit le souffle des lèvres de la jeune femme parcourir les siennes. Une caresse délicate, qui lui remémora de tendres souvenirs.

Votre proposition est très intéressante, mais à qui ai-je l'honneur ? Je me nomme Eidur.

Voyant la jeune femme se reculer, Hal posa son verre sur la table jouxtant son siège, et se leva. Elle était de stature moyenne, mais la taille fine et la poitrine dardant dans le corset qui ne la cachait guère. Il la regardait dans les yeux, et lentement posa sa main sur ses hanches. Il ne fit pas de geste pour la rapprocher, attendant qu'elle se présente.

Kate lui adressa un doux sourire en se laissant bercer par le son de sa voix. Lorsquel reculait, la main d'Eidur se pausa sur sa hanche, comme pour l'empêcher d'aller plus loin. La jeune femme lui faisait face et était un peu plus petite que lui. La fille de joie replaca d'un mouvement de la main sa longue chevelure brune derrière son dos. Lentement, elle avanca une main vers son torse et s'amusa a faire le contour des boutons de sa chemise. Princesse contempla son visage et bati des cils en faignant la gêne par cette question pourtant si simple. Plantant son regard vers dans celui de l'homme, elle lui répondit le plus simplement du monde.

- En ce lieux, on me nomme Princesse.. vous pouvez toujours m'appelez Kate si vous le souhaiter.

La jeune femme rapprocha doucement son visage du sien, ainsi que son corps en manque cruel de caresse. Chaque parcelle de son être était secouer par de léger frisson a l'idée de ce qu'elle aurait droit un peu plus tard avec cet homme. Elle vint enfuire son visage dans son coup et le lui mordilla doucement, puis vint mordiller son oreille avant de lui chuchoter.

- Si vous avez des préférences, une autre peu vous être attribuer Milord a moins que je ne vous convienne ?

Kate lui adressa un doux sourire en plantant son regard vert dans le sien. Des yeux brillant de malice et d'une pointe de défis. Elle redressa fièrement le menton en ne quittant pas ses yeux, sa poitrine étant toujours presser contre son corsait qui l'empêchait de respirer. Diantre qu'elle avait hâte de le retirer ! Lentement, elle lui fila entre les doigts et d'une démarche féminine s'aventura de quelque pas un peu plus loins devant lui.